Pour y voir plus clair, je suis Nietzsche jusque dans l'isoloir pour savoir qui est l'élu de son cœur...
Pour qui il votera ou ne votera pas, pour quoi il a toujours déjà voté.
Son cœur, vous ne l'entendez pas ? Il bat... se bat pour des maîtres et non pour des contremaîtres.
Il s'est toujours battu pour la maitrise et non pour la servitude, pour l'affranchissement et non pour l'asservissement.
L’Agence Info Libre est allée à la rencontre d’Éric Filiol, ancien militaire et actuellement directeur du laboratoire de cryptologie et de virologie opérationnelles à l’ESIEA (École Supérieure d&
Une partie de la gauche française soutient l’opération montée par Alexis Tsipras. Derrière ce soutien au nom du souverainisme, le populisme et le complotisme ?
De nouveau aujourd’hui, sortie d’une belle saloperie hollywoodienne ! Une asservissant d’autant mieux qu’elle alimente le fantasme d’une émancipation fruit d’un héroïsme difficilement envisageable aux communs des mortels. Les Avengers donc, pour la deuxième fois, tenteront de sauver les hommes des griffes du mal !
L’anarchie, aujourd’hui, c’est un folklore. Se réclamer d’un monde sans ordre revient presque à promouvoir un chaos digne des pires barbaries de notre Histoire. Pour tout dire, tous ceux qui, depuis quelques décennies, se revendiquent comme anarchistes, s’accaparent outrancièrement une fierté et un prestige plus proches de la mystification que de la vertu. Ils sont les idiots utiles à toute réelle entreprise révolutionnaire.
Les nombreux siècles de monarchies, puis les gouvernements représentatifs actuels ont développé chez un bon nombre de nos contemporains une véritable « idiocratie », du grec idiốtês (individuel): « homme qui ne participe pas à la vie politique de sa république ».
Bon nombre de nos contemporains s’interrogent sur les réels bénéfices que nous tirons de la consolidation de cette Europe aux frontières effacées. Pour l’opinion publique, le tournant décisif de « l’Acte unique » et ses quatre grands principes de circulation (circulation des marchandises, des personnes, des services et des capitaux) n’auront servi en dernière instance que les seuls intérêts des multinationales et du grand capital.
L’Eglise ne doit pas commander. Politiquement parlant, elle ne le peut. Ses desseins transcendants demeurent hétérogènes aux lois physiques de notre monde visible, immanent. Les passions attachant les hommes à ce monde, et celles les reliant à l’au-delà, ne peuvent s’accommoder. Les âmes citoyennes ne peuvent communier dans un sanctuaire.