Le 16 octobre 2020, notre pays a été frappé une fois de plus – encore une fois de trop – par un attentat djihadiste épouvantable, qui a coûté la vie à Samuel Paty, professeur d’Histoire-Géographie à Conflans sainte Honorine.
La française : on raconte que tu n'as pas de cœur ou que ta rancœur te fait office de cœur, dis-moi pas que c'est la vérité, sinon je meurs
L'algérienne : disons qu'à chacune, sa part de rancune. Je t'en veux parce que tu as essayé de me soumettre; tu m'en veux parce que je t'ai empêché de me soumettre
C'est le jour J. Le lieu dit.
Celui qu'il a choisi pour réduire ses congénères en poussière.
Il n'a eu aucune peine à se transformer en bombe humaine. Il sait qu'il va se donner la mort avec d'autres à bord. Tous ceux dont le hasard a scellé le sort.
Un palestinien m'a écrit avant hier... mais il est mort hier... Et celui qui m'a écrit hier, il est mort aujourd'hui... et celui qui m'a écrit aujourd'hui... va mourir demain... Il s'adressait à moi en tant que française et voilà ce qu'il me confessait :
C'est la rumeur qui rend la Tunisie de bonne ou de mauvaise humeur.
Rumeur qui dit comment le pays se porte et toutes les contradictions qu'il supporte.
L'essence de la rumeur en Tunisie est sans plomb, elle ne tue pas mais dit comment on s'y entretue.
Quand un bruit ne fait plus de bruit...
Ça peut signifier que quelque chose a été détruit comme l'innocence ou l'espérance...
On n'y croit plus, d'où ce faux silence au sujet de la PALESTINE... qui se réduit au fur et à mesure à une part incongrue.
Soit, je viens d'être désignée à la tête de cette C.A.T., de cette cellule anti-terroristes pour vous apprendre à dépister, à chercher et à trouver de nouvelles pistes.
J'appelle un chat, un chat... je suis réaliste mais ça ne m'empêche pas de faire œuvre d'analyste et de me demander si derrière le chat, il y a ou il n'y a pas un rat.
Je ne vais pas nommer les acteurs du drame que je m'en vais aborder mais juste les désigner avec trois lettres de l'alphabet : X.Y.Z. pour que votre imagination puisse les identifier.
Question de droit : la Loi c'est la Loi... même si les faits sont réels, tant que je ne dispose pas de preuve matérielle, je ne peux prétendre qu'à un scénario imaginaire.
Je n'ai pas peur...
Je n'ai pas peur de vous dire que vous avez peur.
Avez-vous peur de perdre la guerre ?
Ce n'est pas une question que je vous pose :
C'est la question qui s'impose à votre vision du monde qui implose.
La guerre contre le terrorisme, la guerre contre le fanatisme, la guerre contre la barbarie...vous l'avez peut-être déjà perdue?
Ce n'est plus un leurre, ce n'est plus une rumeur... c'est l'horreur... l'horreur provoqué par la terreur par ce qu'il est convenu d'appeler le terrorisme à caractère islamiste.
Et ce sont ces éléments de langage qui font le plus de ravage.
On veut éteindre le feu en mettant de l'huile sur le feu.
On incrimine mais on n'élimine pas le crime.
Je cherche mes mots pour saluer le cœur qui vole au secours d'une âme.
Merci sans armes et sans larmes, lieutenant-colonel Beltrame pour ce geste téméraire qui nous éloigne de la bête et nous rapproche de Dieu.
Grâce à vous, je ne serais plus horrifiée par le terrorisme, mais plutôt pressée de glorifier l'héroïsme.
Qu'est-ce qu'un héros ?
Si j'étais Mennel, j'adresserais ce courriel à l'ange Gabriel :
Je suis Mennel: the noise qui a eu la mauvaise idée de se produire dans the Voice et d'être reçue à l'unanimité par le jury.
Les concierges de tout le pays ont fouillé de fond en comble dans mon grenier et exhumé quelques tweet de mon passé pour me passer au crible de leurs mauvaises consciences.
Mesdames Messieurs... je retire mon voile...
pas la peine de l'avoir dans les cheveux puisque je vois que vous l'avez sur les yeux!
J'accuse
Certains élus, certains électeurs
De solder ou d'invalider nos valeurs
De saper les fondements de notre république
En subordonnant l'éthique à leur politique
J'accuse
Certains élus, certains électeurs
De réserver la liberté à ceux qui en ont les moyens
Hier, l'arabe n'avait pas le droit de l'ouvrir. Il avait un devoir de réserve vis à vis du pays qui l'a accueilli et auquel il devait sa survie.
Il fermait sa gueule et balayait sans lever les yeux parce qu'il n'était pas chez lui... on parlait alors d'aliénation économique.
Salah Abdeslam: C'est ce spectre qui hante aujourd'hui tous ceux qui ont survécu aux attentats du vendredi 13... et qui assistent, impuissants au spectacle d'un procès qui fait la plus belle part à son cynisme et à son mutisme!
Et tout le monde en parle de ce monstre qui ne parle pas et qu'on ne peut pas faire parler.
C'est une impasse d'essence dramatique : où se joue la comédie de celui qui n'a rien à démontrer.
Laissons de côté l'éthique de conviction pour mieux détricoter l'éthique de responsabilité... deux expressions que l'on doit à Max Weber.
Les idées n'ont aucun impact si on oublie les actes.
Au lieu de dénoncer le mouvement migratoire et de l'assimiler à une invasion barbare. La leur ou la nôtre ?
Il serait, je crois, plus judicieux de rappeler les faits et les méfaits à la barre!
Sionisme ou islamisme ?
Tout dépend comment vous voulez qu'on vous implante le couteau, en face ou dans le dos ?
Dans les deux cas de figure, vous n'échapperez pas au traumatisme... au choc des prismes.
Ces deux visions nous divisent, alors qu'elles procèdent de la même entreprise, de la même matière grise... de la même bêtise.
Des riches qui instrumentalisent des pauvres... les endoctrinent, les fanatisent pour qu'ils terrorisent d'autres pauvres, d'autres riches.
Qui est derrière cette maudite guerre ? Réponse : l'Arabie Saoudite.Et quelques autres agités du bocal qui utilisent la même diagonale : la diagonale des fous de Dieu.
L'innocent est celui qui ne comprend pas ce qui lui arrive.
Le bien, le mal ne lui disent rien.
C'est un enfant... ceux qui n'ont jamais entendu parler de Dieu... regardez bien les yeux d'un enfant !Étymologiquement, c'est celui qui ne parle pas... n'en parle pas...
Mais il pleure quand on lui fait mal. Sans savoir pourquoi.
On ne peut séparer politique et religion... sans se mentir, sans se trahir, sans occulter leur intime imbrication... sans ignorer leur secrète prétention à l'universalité, à la totalité, à l'unité parfaite.
On ne peut séparer politique et religion. Elles sont inséparables !
C'est le judaïsme qui est à l'œuvre ou à la manœuvre en Israël.
Dièse:
Nous sommes le 13 novembre... Le moment qu'on a choisi pour souffler sur les braises... bonjour Diotime!
Diotime:Bonjour Dièse
Dièse:
Pas la peine de vous présenter, tout le monde sait qui vous êtes... Diotime, la victime des victimes.
Diotime : Oui je suis la victime...et je n'y suis pour rien, c'est une question de conscience intime...
Je l'aimais. Je l'aimais au point que je n'ai jamais eu le temps de me demander s'il m'aimait autant que je l'aimais.
Amour baroque qui ne se soucie pas de la réciproque... Mon niveau de conscience à l'époque était limité à la drogue, à la musique et à la danse... toutes les nuances de la modernité... mais ce n'était pas sa tasse de thé... il avait d'autres chats à fouetter... un tout autre verbe à incarner.
Je viens d'assister bouche bée à un appel télévisé, adressé par le premier ministre à nous autres sinistrés, appel à la vigilance généralisée qui résonne comme une déclaration de guerre non déguisée.
Rappel à tous les citoyens de veiller au grain... parce que l'État régalien n'a plus les moyens d'assurer la sécurité de tous.
C'est désormais l'affaire de chacun... aux armes, citoyens !
Après le double assassinat sur le parvis de la gare, la sentinelle du néant ne peut s'empêcher de se poser la question qui tue : faut-il renvoyer chez eux tous les apaches pour ne plus être à la merci de toutes les tâches ?
Si on laisse de côté les éléments de langage et l'impact des images... on pourrait mieux identifier l'emportement aveugle des esprits, qu'on attribue à l'islamisme, au terrorisme... autrement dit, au fanatisme.
Le fanatisme n'est que l'arbre qui cache la forêt.
C'est l'effet produit par une triple cause : l'analphabétisme, le paupérisme et le despotisme.
Source : Independent, Ben Kentish, 03-07-2017
Les musulmans ont perpétré à peine 12,4 pour cent des attaques aux États-Unis, mais ont reçu 41,4 pour cent de la couverture médiatique.
Le Président est un homme d'affaires
qui s'éprend ou se prend pour Jupiter...
au point de se sentir parfois
le maître de l'univers...
C'est Moi, le Roi,
c'est ce qu'il se dit
en se mettant en marche vers son trône
et en prenant bien soin de sa couronne.
Il sait que c'est toujours risqué
de confisquer le pouvoir...
Tout l'art n'est pas de l'avoir
mais d'en priver les autres...
de les castrer avant de les encastrer...