On m'écrit, on me décrie parce que je défends à cor et à cris la Palestine.
On se dit : qu'est ce qui lui prend, qu'est-ce qu'il lui a pris de s'accrocher à cette cause révolue ? Ce qui fut, ne sera plus.
La Palestine n'existe plus... c'est peine perdue ?
Il y a même un rabbin qui a cru bon de m'adresser sa pâle estime sous prétexte que je me suis trompée d'adresse et que mon plaidoyer fait office de fausse grossesse... encore un qui a raté son brevet de noblesse!