Le peuple est dévêtu et ses défauts sont mis à nu.
Il ne représente plus rien et n'est plus représenté.
Il n'est plus le maître de ses gestes.
Il va là où le vent l'emmène... à sa perte... en se disant qu'il l'a voulu... comme s'il était déchu de sa nationalité, de sa rationalité et de sa dignité.
Ses réseaux n'ont pas suffit pour forger un véritable contre-pouvoir. Il s'est assis dessus!
Il n'est plus législateur mais seulement spectateur.
Il n'oppose même plus de résistance.
On dirait qu'il s'est rendu.