Noah, le vieux Noah est peut-être contesté. Il reste incontestable. Il fut le premier et le seul à gagner Roland Garros, à hisser très haut le drapeau d'un pays qui ne l'a pas toujours chéri parce qu'il vit et a toujours vécu avec ses joints à la jointure de deux pays, de deux continents, de deux mouvements : le tennistique et la musique.
La prose du monde a toujours eu horreur de la poésie.
Elle confond ambivalence et ambiguïté. Double identité et double faute. Métis et mauvais service.