Pour Thierry Meyssan, la montée des tensions dans le Golfe n'a rien avoir avec un prétendu péril iranien. C'est en réalité la seconde manche de la politique anti-impérialiste iranienne de Mossadegh, avant les mollahs. Londres, comme en 1952, est prêt à la guerre pour défendre ses avantages économiques indus. Mais attention, si les Britanniques gagnèrent alors, ils perdirent, quelques années plus tard à Suez au profit des États-Uniens.