Alors que la guerre contre la Syrie avait été décidée en 2001 pour briser « l'Axe de la Résistance », pour faire main basse sur ses réserves de gaz, et remodeler le « Moyen-Orient élargi », les priorités de Washington ont été bouleversées. Le nouvel objectif est de stopper la contagion terroriste que tous les États impliqués alimentent et qu'aucun ne parvient plus à contrôler. Le complexe militaro-industriel, les notables de Washington et de grands médias espèrent désormais la victoire de la Syrie de Bachar el-Assad.