L'homme de la rue arabe... est en colère.
Il n'espère plus. Il désespère !
Il n'a même plus envie de nombrer ses innombrables divergences avec ses dirigeants.
Soit ils sont jeunes et ambitieux, soit ils sont vieux et gâteux...
D'aucuns ne le rapprochent de Dieu... tous leurs attributs l'en éloignent.
Il voit partout le mal animal : les paniers de crabes, les nœuds de vipères, les anguilles sous roche... la civilisation n'a civilisé ni les cœurs, ni les mœurs !