Le malheur, c'est moi... en moi, il est ancré
Alors que le bonheur, c'est l'Autre... en lui, il est sacré.
A-t-ton seulement besoin de le montrer ou de le démontrer ?
Il suffit de le ressentir pour y consentir, de l'éprouver pour l'approuver.
Il est où le bonheur, il est où?
Partout, mais pas en nous. Toujours en dehors de nous...
C'est précisément ce qui nous libère de nous, en mettant un terme à notre autosuffisance, à notre arrogance, à notre impuissance.