Paris Match – Monsieur le président, après trois ans de guerre, au point où nous en sommes aujourd'hui, regrettez-vous de ne pas avoir gérer les choses différemment au début, lorsque les premiers signes de révolte sont apparus en mars 2011 ? Vous sentez-vous responsable ? Bachar Al-Assad – Dès les premiers jours, il y avait des martyrs de l'armée et de la police. Nous avons donc, dès cette époque, fait face au terrorisme. Il y avait certes des manifestations, mais pas en grand nombre. Notre seul choix (...)
The videos shocked the world. Hundreds of bodies lay on the floor of makeshift morgues in and around the town of Al Ghouta on the southeastern outskirts of Damascus.
